Dans ce dossier du COVID-19, je vous partagerai avec humilité une foule de renseignements sur des sujets divers vous aidant, je l’espère, à gérer du mieux possible cette crise individuelle et collective sans précédent.

SAVOIR COMMUNIQUER

 

Savoir communiquer. Une question de SAVOIR-FAIRE et de SAVOIR-ÊTRE. J’ai eu l’opportunité de m’initier à la – Technique de communication dite IMAGO – en 2019 lors d’un week-end de respiration holotropique. Puis une retraite en couple.

À l’heure actuelle où le niveau d’anxiété et de stress généralisés peuvent-être plus élevés pour certaines personnes, je crois judicieux de vous partager ici en période de cohabitation lors d’un isolement à la maison les quelques préceptes de base que j’ai appris et qui me servent bien.

 

5 POINTS FONDAMENTAUX

(1) Assurez-vous (même à distance) de créer le contact visuel avec la personne (yeux-dans-les-yeux). C’est essentiel (2) Parlez au JE pour ne pas donner l’impression que vous attaquez verbalement l’autre (3) Laissez derrière vous votre histoire question d’avoir une écoute active (4) 0 négativité. C’est déjà assez stressant pour tout le monde. Essayons de rester calme. D’être aussi positif que possible sans diminuer la gravité de cette crise (5) N’OUBLIEZ PAS – Perception est réalité. En ce sens, il est fondamental de valider. C’est-à-dire de répéter ce que l’autre vous a dit pour vérifier si vous avez bien entendu et bien saisi ce que l’on vous a transmis comme information.

Comme dans toutes choses, il est entendu que la pratique permet la maitrise. Il est primordial de s’investir. Cette technique de communication ne fait pas exception. C’est dans cette optique que je vous suggère de prendre contact avec Claude Parisot, Thérapeute de couple Imago certifié, Sexothérapeute, Formateur en gestion du stress pour apprendre cette méthode IMAGO. C’est une ressource professionnelle expérimentée. Et une personne riche d’enseignement.

Savoir communiquer lorsque confiné/e à la maison est assurément une corde de plus à son arc, oui?

 

NE RIEN PRENDRE DE PERSONNEL

Cette dernière suggestion provient des ‘’4 accords Toltèques’’

RESPIRER 3D

 

ADOS – ADULTES

Mes clients qui sont parents me disent que les désirs et réalités de l’un et de l’autre diffèrent bien souvent. Les compromis ne sont pas toujours faciles à trouver. Et ça, c’était AVANT la pandémie!

Le cœur a ses raisons que seul l’intellect ne peut pas toujours comprendre. La portion CPF (Cortex Pré Frontale) prend du temps à se développer. Jusqu’à 25 ans environ. Et l’adulte lui avec les responsabilités de l’existence qui s’accumule, ça peut lui arriver au fil du temps d’oublier son cœur d’enfant.

L’un est très près de ses émotions (sans grande régulation). L’autre parfois est un peu ‘’blasé’’. Terre-à-terre. Cartésien. Peut-être alors faut-il chercher à trouver l’équilibre entre les deux ? Une sorte de juste milieu entre l’intellect et l’intelligence émotionnelle ?

Je vous invite à regarder cette entrevue instructive sur le développement du cerveau des adolescents avec Grégoire BORST, professeur de psychologie du développement et de neurosciences cognitives de l’éducation à l’université Paris Descartes. En ce qui me concerne, ça a jeté les bases d’une réflexion en profondeur concernant mes préjugés. Ça m’a demandé de me replonger en arrière dans mes souvenirs pour tenter au meilleur de mes capacités de comprendre nos différences.

Un article dans lapresse.ca donne également (selon moi) de bonnes pistes de solutions lorsque vient le temps d’amorcer une discussion franche et nécessaire avec une personne au CPF encore en formation.

Il semble parfois qu’il y a une planète enfant-ado-jeune adulte et le monde adulte marché du travail. Ce qui peut entraîner bien des conflits. Pour trouver des solutions, il faut d’abord se parler. Et ce avec un langage commun. Ou bien trouver le bon messager.

Voici une liste d’influenceurs qui pourraient vous aider à faire passer le message.

Reste chez toi, c’est important ! – CHANSON | Coronavirus – mariemaireal – Tomas Tatar – beatricepirate

COURS DE PHILO

Je me souviens de mes cours en philo au Cégep. Ces exercices de réflexion sur ce que l’on appelle en anglais un ‘’Catch 22’’. Ces fois où il n’y a  »pas vraiment de bonne réponse » lors de circonstances exceptionnelles. Parfois ramener cela au plus petit dénominateur commun peut nous aider à comprendre et saisir certaines subtilités. Pour davantage de sympathie, de résonance empathique et d’amour altruiste.

MOI. VOUS. NOUS

Qu’arriverait-il si par exemple si mon frère, ma sœur, mon fils, ma fille, mon père, ma mère, ma grand-mère ou mon grand-père était concerné/e ? Avait contracté/e le virus ? Ceci peut-il nous aider à voir la situation sous une autre perspective ? Ceci afin d’exercer davantage de jugement critique quant à nos comportements ? D’avoir davantage de sympathie et d’empathie pour les autres dans les circonstances exceptionnelles actuelles ?

Je vous laisse juges.

PILATES

Éric Blais

Éducateur physique B.Sc., yoga thérapeute (Yoga Resource), spécialiste en évaluation et correction posturale (Egoscue), entraîneur Kettel Bell (Agatsu), praticien en massage thaï (Still Light Center, Albert Lee), Étirements Actifs Isolés (Stretching Canada) et instructeur ANIMAL FLOW ®

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